Avancées (31) : 30 juillet 2025

J’ai mis à jour mon journal de lecture de l’année, avec les annotations.

https://www.senscritique.com/liste/journal_de_lecture_2025/3991982?mode=preview

J’ai mis à jour ma pile à lire en format numérique. Pourquoi ? Et pourquoi pas ? Plus de 160 livres, ça fait tout de même beaucoup. J’étais presque arrivé à 140 en début d’année, mais les achats et les cadeaux sont ce qu’ils sont.

https://www.senscritique.com/liste/ma_pile_a_lire/3958916

Les statistiques Babelio indiquent que j’ai lu plus de 4 000 pages au mois de juillet. L’avantage de prendre deux semaines pour lire à la plage. Par rapport aux statistiques habituelles des autres sites, une surprise : comme les bandes dessinées sont intégrées aux livres, elles sont très différentes, par exemple, de celles de SensCritique. Tout d’un coup apparaissent des auteurs de bande dessinée dans la liste de mes auteurs les plus lus de l’année. La Fantasy, la science-fiction et le policier deviennent des genres parmi mes préférés, ce qu’une simple analyse des livres ne tendrait pas à démontrer. Je tente de varier les pays, mais ai manqué de volonté : pas terminer Nedjma de Kateb Yacine, pas terminé L’Immeuble Yacoubian d’Alaa al-Aswany, si bien que le sud demeure un peu vide sur la carte.

https://www.babelio.com/lectures_stats.php

Pour la chronique de poésie du dimanche, je lis le deuxième volume des Cavales d’Hervé Micolet ; j’avais parlé du premier tome ici. Les critiques sont beaucoup plus facile à écrire quand on a déjà lu d’autres livres de l’auteur. Ainsi, si je regarde les statistiques WordPress, une évidence : ce sont les critiques d’auteurs que je maîtrisais plus qui ont été les plus partagées et lues. Aussi 2025 aura-t-elle été aussi celle du défrichage, c’était d’ailleurs le but : y voir plus clair dans le champ de la poésie contemporaine.

Maintenant que le contrat est arrivé, je peux me permettre de faire un peu de teasing sur une édition scolaire que nous préparons avec Anaïs. Non, en vérité, je ne peux pas dire grand-chose, sauf que je traduis une nouvelle écrite en anglais. Première fois que je tente une traduction à publier : c’est ce travail qui occupe la majeure partie de mon temps intellectuel.

Deux heures de travail intellectuel chaque jour entre 14 h et 16 h. La productivité est bonne. J’ai même écrit des poèmes qui m’ont plu. Comme c’est, pour une mois, quelque chose qui ressemble à un ensemble, j’en publie moins par ici, ou je posais surtout des textes détachés. Il serait temps, enfin, de constituer un livre digne de ce nom. Les vacances sont faites pour cela, pour le véritable travail.

Nous sommes rentrés de Corse. Arriver dans la trentaine, c’est savoir, après un voyage, ranger les affaires de quatre personnes en une petite heure, faire les courses et le ménage avec une redoutable efficacité. L’année dernière, lors de notre dernier déménagement, nous étions parvenus à déballer tous nos cartons en deux jours.

Je reprends le travail en ayant l’impression de m’être parfaitement reposé. C’est bien.

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