Les folles semaines (3)
Le calme avant la tempête. Continuer de lire Les folles semaines (3)
Le calme avant la tempête. Continuer de lire Les folles semaines (3)
1° On voudrait être sérieux, mais Eric Ciotti existe.
2° Sur la possibilité d’un dialogue politique réel. Continuer de lire Les folles semaines (2)
Le mois se termine avec la folie des conseils de classe de 3e. J’ai cédé, en fin d’année dernière, en acceptant d’être professeur principal sur ce niveau. Il y avait je crois, dans cette décision, une forme d’expiation du fait d’être un « agrégé de collège », c’est-à-dire indéniablement un privilégié ; et puis l’envie de m’intégrer dans une équipe en montrant de la bonne volonté. Ces quelques jours marqués par les bulletins, les orientations, les « bilans de compétences », les appels nombreux aux parents visiblement perdus comme nous dans la jungle administrative, et la préparation des oraux de brevet, avec en toile … Continuer de lire Fin de mai
Il y a le travail alimentaire la journée, le travail littéraire le soir et la nuit. Au-milieu jaillit la violence de l’actualité, qui oblige à remettre sur le tapis le travail intellectuel. Continuer de lire Les trois travaux
1. L’année a vu mon arrivée au collège, après trois ans en lycée. Ce n’était pas lié à une appétence particulière, mais à une question pratique : le collège se situe à cinq minutes à pieds de chez moi, je n’ai plus à faire près de deux heures de voiture par jour. Gain très appréciable. Évidemment, on commence par me demander quelles différences je vois en termes de travail et d’organisation. Réponse simple : autant de préparation de cours, plus de gestion de classe, beaucoup moins de corrections. Préparation de cours : les analyses sont moins complexes, mais les exercices … Continuer de lire Notes sur l’année scolaire 2023-2024
Le genre de la rêverie d’après Rousseau. La méthode de Jacques Réda. Une autre ville que Paris. Continuer de lire Swing
« Aucun plan, c’est pourquoi la rêverie. » Un bilan, puis Liu Cixin, puis la rêverie. Question : Pourquoi ? Réponse : pourquoi pas ? Continuer de lire Rêverie du 19 mai (le 99e article)
Quelques portes d’entrée dans la poésie contemporaine. Continuer de lire Faire connaître la poésie contemporaine
A propos de la rêverie, d’un premier mai dans une ville moyenne, et d’une nature morte de Robert Delaunay. Continuer de lire Rêverie de début mai
Ce sont ces jours classiques où l’on s’habille chaudement le matin, car il fait froid, et où l’on en crève de chaud l’après-midi. Le réchauffement climatique n’y est pour rien, mais on y pense naturellement, dès que la météo passe en courant dans l’esprit. J’y songeais en voyant, début avril, tomber des giboulées de neige quand j’amenais ma dernière fille chez sa nounou, au pied du Jura ; quelques heures plus tard, la montagne blanche était redevenue verte. Aucune importance, peut-être. Il est difficile de regarder la nature, il est encore plus difficile de ne pas la regarder niaisement. Sans … Continuer de lire Rêverie d’avril